Groupes de supervision pour
ostéopathes D.O.
Réflexivité
Remaniement psychique
Mise en mouvement de la pratique ostéopathique
À propos
Analyse de la pratique d'orientation psychanalytique
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Comment narrer l’ostéopathie et ses spécificités ?
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Bien souvent, les ostéopathes s’interrogent sur la façon dont ils expliquent leur pratique aux professionnels de santé ou aux patients rencontrés. Le groupe d’élaboration de la pratique clinique ostéopathique propose d’explorer une dimension intrasubjective, interne.
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Comment se raconter sa pratique ?
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Pourquoi est-elle mise en tension dans certaines rencontres cliniques ?
Evénements à venir
Lien entre ostéopathie et psychologie clinique
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Le choix d'un référentiel en psychopathologie clinique psychanalytique permet de penser, par associations libres (exprimer ses pensées de façon spontanée), la pratique ostéopathique à partir des cas cliniques amenés par les participants. Ainsi, grâce à cette associativité de groupe apparaît l'émergence de réflexions autour de la dynamique transférentielle qui aidera à saisir les enjeux et difficultés de sa pratique. Autrement dit, cette groupalité permettra une mise en mot et en sens de ce qui se joue, par effet de résonance (en miroir), en le professionnel et en le patient.
Groupes supervisés par
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Anaïs Djefaflia est psychologue clinicienne, psychothérapeute, diplômée de l’université Lumière Lyon II en psychopathologie clinique psychanalytique. Elle reçoit des patients dans le cadre de thérapies individuelles et familiales. Spécialisée dans les problématiques psychosomatiques, elle supervise le groupe et propose un éclairage des processus psychiques permettant de dénouer certaines difficultés de votre pratique ostéopathique.
« L'approche psychanalytique va au-delà de ce qui fait surface, des émotions, du "somato-émotionnel". Son intérêt est dans l'écoute du patient et de sa singularité, au plus près des mouvements conscients et inconscients et permettra une mise au travail de votre pratique ostéopathique ».
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Floriane L'Hermite est ostéopathe D.O., diplômée de l’Institut Toulousain d’Ostéopathie, et co-supervise les groupes d'analyse de la pratique ostéopathique. Titulaire d’un D.U. de « Philosophie de l’ostéopathie » (Ucly), elle est l'auteure d'un article publié dans la revue ApoStill « Le neutre, un soin ostéopathique bien tempéré - Une approche psychanalytique ».
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« La supervision est très peu présente dans le paysage ostéopathique. Les ostéopathes ont pour habitude de penser leur pratique selon le concept de globalité (interactions entre les parties du corps), conformément aux principes d'origines. Il est alors fondamental d'envisager une globalité plus large, prenant en compte les interactions somato-psychiques mais surtout patient/praticien. La relation thérapeutique est ainsi envisagée comme un tout ».
